La traduction des hiéroglyphes

 

Les égyptiens de l'Egypte antique écrivaient en hiéroglyphes. Les hiéroglyphes sont des petits dessins - des êtres ou des objets de l'univers pharaonique sous forme d'ilmages. Il existe un nombre invraissemblables de hiéroglyphes. Les hiéroglyphes se lisent généralement comme des lettres formant un mot, mais peuvent aussi se lire de manière globale. Les hiéroglyphes se lisent habituellement de droite à gauche, mais peuvent également se lire de gauche à droite ou de haut en bas ; le seul moyen de connaître le sens de lecture est de regarder la direction de certains hiéroglyphes, par exemple la direction du regard des animaux ou des humains.Autre curiosité des hiéroglyphes, c'est que l'Egyptien ne distingue pas les mots par un quelconque signe, ce qui rend particulièrement difficile de distinguer les mots et les différentes phrases. L'égyptien antique semble avoi été, directement ou indirectement à l'origine des alphabets successifs qui lui succèderont jusqu'à l'alphabet utilisé aujourd'hui.

 

Champollion et la pierre de Rosette qui auront permis de percer un secret millénaire

 

 

 

 

 

   1)  Le corps est lavé avec de l'eau ou de l'huile de palme, puis rasé et épilé.

    

   2) A l'aide d'un crochet de bronze ou de fer, les prêtres enlèvent le cerveau par les narines.

    

    3) Ensuite, avec une pierre ou un couteau, ils font une incision le long du flanc et retirent tous les intestins, l'estomac, le foie et les poumons (après avoir été lavés, ils sont placés dans des vases appelés canope) ; puis ils remplissent le ventre de sel ainsi que de cannelle et d'autres aromates.

    4) Cela fait, ils recouvrent le corps de sel et l'exose au soleil pendant 30 à 40 jours afin qu'il se déshydrate.

 

    5) Puis, les prêtres lavent le mort, le frottent avec de la myrrhe, assouplissent la peau avec des onguents (huiles et résines), puis, pour lui redonner les formes de la vie, ils bourrent la cavité abdominale de tissus. Le corps est ensuite recousu.

 

    6) Enfin, ils enveloppent tout son corps de bandes taillées dans un tissu de lin très fin, avec une couche de gomme. urant la pose des bandelettes, on dispose les amulettes protectrices et magiques à divers endroits du corps ( les scarabées qui favorisent la renaissance du défunt sont indispensables). Pour finir, on dépose un masque funéraire sur la tête de la momie. Ce masque est en papier mâché ou plâtre pour les plus pauvres et en or pour les plus riches.

momie du Pharaon Ramsès II mort vers 1240 av. J.-C. à 70 ans

A chaque étape de la momification, les prêtres récitent des formules sacrées.

Résumé imagé